CONFIEZ-VOUS SOUCIS AU SEIGNEUR

Posted on 26 Août 2020

Je sais que parfois nous pouvons sentir nos cœurs alourdis. Un rêve obscur, une pression externe, une menace ou autres éléments similaires pouvant influencer — si nous ne les gérons pas correctement — nos vies. Les fardeaux et les pressions peuvent effectivement constituer la réalité dans une vie chrétienne et Dieu a anticipé dans sa Parole un moyen pour y faire face. Il s’agit de cette méthode que nous essaierons de vous présenter aujourd’hui.

  1. Dieu. Celui qui soutient
    Commençons avec Psaumes 55:22: nous pouvons y lire:

Psaumes 55:22
«Remets ton sort à l’Éternel, et il te soutiendra, il ne laissera jamais chanceler le juste.»

La Parole de Dieu nous exhorte à décharger notre fardeau sur le seigneur. Ceci signifie immédiatement deux choses. Premièrement, la vie ne sera pas sans fardeau, même pour les chrétiens. Deuxièmement, le moyen approprié pour y faire face, qu’il soit petit ou important, est de remettre notre sort à l’Éternel. Cette affirmation est également confirmée par 1 Pierre 5:7 où nous pouvons lire:

1 Pierre 5:6-7
«Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable. Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous.»

Dieu nous invite à nous décharger de notre anxiété sur lui, car il se soucie de nous. La référence à l’humilité précédant ce passage n’est probablement pas fortuit, car il faut de l’humilité pour nier pouvoir tout contrôler et se décharger de tous nos soucis sur Dieu. Il nous dit dans Romains 8:32:

Romains 8:32
«Lui qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui?»

De même, Psaumes 37:3-5 déclare:
«Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien; aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture. Fais de l’Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. Recommande ton sort à l’Éternel, mets en lui ta confiance, et il agira. Espères-en l’Éternel.»

Et Proverbes 3:5-6
«Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur, et ne t’appuie pas sur ta sagesse; reconnais-le dans toutes tes voies, et il aplanira tes sentiers.»

Ce ne sont pas de simples paroles, bien que nous ayons pu les lire de nombreuses fois. Au contraire, il s’agit des mots de Dieu, de promesses demandant notre attention et notre confiance. Il ne s’agit pas de savoir si nous possédons la sagesse et la capacité de supporter nos propres fardeaux, mais de les confier à Celui qui possède toutes ses qualités, le Dieu tout puissant, afin qu’ils les portent à notre place.

  1. Matthieu 6
    Un autre enseignement de la Parole de Dieu concernant la gestion des fardeaux et des soucis est donné par Christ dans Matthieu 6. En commençant à partir du verset 25, nous pouvons lire:

Matthieu 6:25-32
«C’est pourquoi je vous dis: ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement? Regardez les oiseaux du ciel: ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. N’allez-vous pas beaucoup plus qu’eux? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement? Considérez comment croissent les lis des champs: ils ne travaillent ni ne filent; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe, qui existe aujourd’hui dans les champs et qui demain sera jetée au four, ne vous vêtira-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi? Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? que boirons-nous? de quoi serons-nous vêtus? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin.»

Vous pouvez voir que le texte ne nous déclare pas de ne pas demander à Dieu de répondre à nos besoins. En fait, une partie de la prière du Seigneur donnée à ses disciples (connus comme «la prière du Seigneur») concernait les besoins physiques («donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien», Matthieu 6:11). Par conséquent, Jésus souhaitait nous dire dans ce passage de ne pas cesser d’interroger Dieu pour la couverture de nos besoins, mais d’arrêter de nous en soucier. Il continue en nous expliquant ce que nous devrions poursuivre:

Matthieu 6:33-34
«Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.» Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine.»

Le mot «premièrement» au début du passage établit un contraste entre ce qui précède et ce qui suit. Il nous dit par conséquent qu’au lieu de prêter attention aux soucis, nous devrions nous intéresser au royaume de Dieu et à sa justice. En conséquence, tout ce dont nous pourrions avoir besoin nous sera donné par-dessus. Car Christ a répondu de façon caractéristique au diable qui le tentait:

Matthieu 4:4
«L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.»

Même si nous avions d’autres choses, nous ne serions toujours pas en vie si la Parole de Dieu n’était pas dans nos cœurs. Cela ne signifie pas bien sûr que nous n’avons pas besoin de manger et de boire ou que n’avons pas d’autres besoins. Nous venons juste de lire que Dieu connait tout ceci. Toutefois, notre principal besoin, en fait notre seul besoin (voir Luc 10:38-41), est d’avoir la Parole de Dieu régnant dans nos cœurs. C’est cette dernière que nous devons d’abord rechercher et si nous agissons ainsi, tous les autres besoins que nous pouvons avoir nous seront donnés. C’est promis !

Quelques exemples.
Afin de mieux comprendre le côté pratique du passage ci-dessus, étudions deux exemples (qui ne sont d’ailleurs pas les seuls) donnés par la Bible.

  1. Daniel dans la fosse aux lions
    Le premier cas que nous allons examiner concerne Daniel qui était un des juifs qui avaient été faits prisonniers à Babylone et qui se trouvait probablement aux positions les plus élevées de la hiérarchie du royaume. En fait, comme nous pouvons le lire dans Daniel 6:3, il était le préféré parmi tous les gouverneurs du royaume au temps de Darius le Médian. Cette position provoqua l’envie de ses collègues qui complotèrent contre lui, persuadant le roi d’émettre un commandement qui interdirait pendant 30 jours d’adresser des prières à un dieu ou homme autre que le roi. La pénalité qui en résulterait serait d’être jeté dans la fosse aux lions. La forme de ce complot n’était pas fortuite. Comme le verset 5 nous l’apprend, ces individus savaient que le seul moyen d’accomplir leur but était de trouver quelque chose contre Daniel «concernant la loi de Dieu». Ainsi, connaissant l’amour de Daniel pour Dieu, ils le placèrent devant un dilemme: soit il arrêtait de prier Dieu comme le commandement le demandait, soit il servirait de nourriture aux lions. Ces hommes essayèrent donc à travers ce complot d’interférer ouvertement dans la relation entre Daniel et son Dieu. Il était désormais devant un choix. Soit il laisserait la pression, cette menace, infecter son cœur par l’anxiété et la peur, soit il s’en déchargerait sur Dieu en préservant intacte sa relation avec Dieu et en plaçant sa confiance en LUI quant au problème dans son entier. Le verset 10 nous apprend ce qu’il choisit de faire:

Daniel 6:10
«Lorsque Daniel sut que le décret était écrit, il se retira dans sa maison, où les fenêtres de la chambre supérieure étaient ouvertes dans la direction de Jérusalem; et trois fois par jour il se mettait à genoux, il priait, et il louait son Dieu, comme il le faisait auparavant.»

Daniel continua non seulement de prier Dieu, mais il le fit de sa manière habituelle: avec sa fenêtre GRANDE OUVERTE! Il a ouvertement ignoré la menace ou n’a même pas essayé d’y faire face par ses propres moyens, par exemple en fermant les fenêtres, en essayant de ne pas être visible, en priant à des moments où personne ne pourrait le voir, en secret, etc. Au contraire, il poursuivit sa relation avec Dieu comme auparavant. Autrement dit, il fit ce que ces ennemis attendaient. Comme nous l’avons vu, ils conçurent leurs plans en se basant sur le fait que Daniel n’arrêterait pas de prier et d’interroger Dieu. Ce faisant, il aurait ainsi enfreint le commandement du roi. Les versets 11 à 16 nous enseignent ce que ces hommes firent:

Daniel 6:11-16
«Alors ces hommes entrèrent tumultueusement, et ils trouvèrent Daniel qui priait et invoquait son Dieu. Puis ils se présentèrent devant le roi, et lui dirent au sujet de la défense royale: N’as-tu pas écrit une défense portant que quiconque dans l’espace de trente jours adresserait des prières à quelque dieu ou à quelque homme, excepté à toi, ô roi, serait jeté dans la fosse aux lions? Le roi répondit: la chose est certaine, selon la loi des Mèdes et des Perses, qui est immuable. Ils prirent de nouveau la parole et dirent au roi: Daniel, l’un des captifs de Juda, n’a tenu aucun compte de toi, ô roi, ni de la défense que tu as écrite, et il fait sa prière trois fois par jour. Le roi fut très affligé quand il entendit cela; il prit à cœur de délivrer Daniel, et jusqu’au coucher du soleil il s’efforça de le sauver. Mais ces hommes insistèrent auprès du roi, et lui dirent: sache, ô roi, que la loi des Mèdes et des Perses exige que toute défense ou tout décret confirmé par le roi soit irrévocable. Alors le roi donna l’ordre qu’on amène Daniel, et qu’on le jette dans la fosse aux lions. Le roi prit la parole et dit à Daniel: Puisse ton Dieu, que tu sers avec persévérance, te délivrer!»

Ces hommes haïssaient Daniel à un tel point qu’afin de le placer dans cette position, ils déçurent même le roi. Lorsque le roi comprit ce qui se passa, il en fut extrêmement désolé, mais il ne pouvait plus rien faire, car le commandement était impossible à modifier. Toutefois, il fit quelque chose de plus important: il fit confiance à Dieu. Les versets 17 à 23 nous expliquent ce qu’il advint:

Daniel 6:17-23
«On apporta une pierre, et on la mit sur l’ouverture de la fosse; le roi la scella de son anneau et de l’anneau de ses grands, afin que rien ne soit changé à l’égard de Daniel. Le roi se rendit ensuite dans son palais; il passa la nuit à jeun, il ne fit point venir de concubine auprès de lui, et il ne put se livrer au sommeil. Le roi se leva au point du jour, avec l’aurore, et il alla précipitamment à la fosse aux lions. En s’approchant de la fosse, il appela Daniel d’une voix triste. Le roi prit la parole et dit à Daniel: Daniel, serviteur du Dieu vivant, ton Dieu, que tu sers avec persévérance, a-t-il pu te délivrer des lions? Et Daniel dit au roi: Roi, vis éternellement! Mon Dieu a envoyé son ange et fermé la gueule des lions, qui ne m’ont fait aucun mal, parce que j’ai été trouvé innocent devant lui; et devant toi non plus, ô roi, je n’ai rien fait de mauvais. Alors le roi fut très joyeux, et il ordonna qu’on fasse sortir Daniel de la fosse. Daniel fut retiré de la fosse, et on ne trouva sur lui aucune blessure, PARCE QU’IL AVAIT EU CONFIANCE EN SON DIEU.»

Le dernier verset nous explique ce qu’il se passa pour Daniel et la raison pour laquelle les événements se déroulèrent de cette façon. Ainsi la conséquence fut «qu’on ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu’il avait eu confiance en son Dieu.»

Il est si facile de lire et de passer rapidement sur le passage ci-dessus, mais mettons-nous quelques minutes dans la situation de Daniel. Il n’était pas un surhomme, ainsi que les autres hommes présents dans la Bible. Ils étaient comme nous, qui avons le choix de croire ou non en Dieu. Nos problèmes et nos menaces sont-ils plus importants que ceux rencontrés par Daniel? Il aurait pu mourir en quelques minutes. «Naturellement» parlant, il était mort dès qu’il atteignit le fond de la fosse. Pourtant, Daniel ne regarda pas à sa situation de manière «naturelle», mais plutôt de façon SURnaturelle. Car le passage nous dit:»il crut en Dieu». Il fit confiance en Dieu. Il aurait pu accomplir des milliers d’autres choses. Il aurait pu imaginer des centaines de façons d’éviter ce piège: il aurait pu fermer la fenêtre, il aurait pu faire des compromis, il aurait pu supplier le roi. Toutefois, au contraire, Daniel choisit d’avoir foi en Dieu. Lorsqu’il fut conduit devant la fosse, «il crut en Dieu». Lorsqu’il fut jeté dans la fosse, «il crut en Dieu». Il en résulte? «On ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu’il avait eu confiance en son Dieu.» La question n’est pas de savoir s’il y aura des temps difficiles, des fardeaux et des soucis à porter sur nos épaules, car nous savons qu’il y en aura. Au contraire, la question est de savoir si nous saurons les gérer de la bonne manière? Continuerons-nous de les supporter ou nous en déchargerons-nous sur Dieu? Croirons-nous en la capacité à Dieu et en son pouvoir ou choisirons-nous de croire en nos propres possibilités? Nous tournerons vers une solution naturelle («je suis capable», «j’ai la sagesse») ou surnaturelle («Dieu est capable», «Dieu me donne la sagesse») ?

  1. Le cas d’Élie
    1 Rois 17 nous offre un autre exemple de gestion des fardeaux et des soucis ainsi que de la capacité de Dieu à supporter nos besoins. Dans le verset 1, Élie nous parle d’Achab, le roi d’Israël:

1 Rois 17:1
«Élie, le Thischbite, l’un des habitants de Galaad, dit à Achab: L’Éternel est vivant, le Dieu d’Israël, dont je suis le serviteur! Il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole.»

En raison d’éléments malfaisants qui prirent place en Israël pendant le règne d’Achab, Dieu ne donnerait pas de pluie pendant trois ans et demi, signifiant ainsi la famine pour le pays dans lequel vivait Élie. Il y avait donc un besoin, celui de la nourriture et de l’eau, qui semblait difficile à satisfaire tôt ou tard pour Élie. Dieu savait-il qu’Élie, son homme, devait boire et manger, et que fit-il à ce sujet? Les versets 2 à 6 nous le disent:

1 Rois 17:2-6
«Et la parole de l’Éternel fut adressée à Élie, en ces mots: pars d’ici, dirige-toi vers l’orient, et cache-toi près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Tu boiras de l’eau du torrent, et j’ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là. Il partit et fit selon la parole de l’Éternel, et il alla s’établir près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Les corbeaux lui apportaient du pain et de la viande le matin, et du pain et de la viande le soir, et il buvait de l’eau du torrent.»

Dieu connaissait nos besoins et bien qu’il pouvait sembler naturellement impossible de les satisfaire, il pouvait les combler d’une autre manière: SURNATURELLEMENT. Qui pourrait réellement croire que les besoins en nourriture pourraient être comblés par les corbeaux lui amenant ce qui lui était nécessaire? Et pourtant, c’est écrit juste devant nos yeux. Nous n’espérons pas forcément une solution naturelle, mais une résolution surnaturelle venant de Dieu qui peut rendre toute chose possible ou impossible. Nous n’avons pas seulement l’espoir lorsqu’il semble y avoir des solutions, mais également quand aucune ne semble visible à l’horizon. Tout comme pour Élie, Dieu sait comment nous apporter les solutions et répondre aux prières d’une façon qui supplante le naturel: il connait UN MOYEN SURNATUREL. Mais, poursuivons:

1 Rois 17:7-9
«Mais au bout d’un certain temps le torrent fut à sec, car il n’était point tombé de pluie dans le pays. Alors la parole de l’Éternel lui fut adressée en ces mots: lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j’y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir.»

Le torrent s’assèche. L’eau se raréfie. La famine menace Élie. Que fit-il? Rien, jusqu’à ce que Dieu lui donne la sagesse en lui montrant SA propre solution, la résolution SURNATURELLE1, qu’il suivit également:

I Rois 17:10-16:
«Il se leva, et il alla à Sarepta. Comme il arrivait à l’entrée de la ville, voici, il y avait là une femme veuve qui ramassait du bois. Il l’appela, et dit: va me chercher, je te prie, un peu d’eau dans un vase, afin que je boive. Et elle alla en chercher. Il l’appela de nouveau, et dit: apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main. Et elle répondit: L’Éternel, ton Dieu, est vivant! je n’ai rien de cuit, je n’ai qu’une poignée de farine dans un pot et un peu d’huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils; nous mangerons, après quoi nous mourrons. Élie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau, et tu me l’apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils. Car ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël: la farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol. Elle alla, et elle fit selon la parole d’Élie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu’Élie. La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l’Éternel avait prononcée par Élie.

«Naturellement» parlant, qui n’aurait jamais pu imaginer tous les événements ci-dessus? Personne! Car, tous sont impossibles de manière «naturelle», et non pas de façon SURnaturelle. Car le Seigneur dit: «Jésus répondit: Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu.» (Luc 18:27) Tout est possible avec Dieu. La plus merveilleuse source de pouvoir illimitée de tout l’univers est notre Dieu. Regardons autour de nous et recherchons les solutions naturelles. Ne restreignons pas uniquement les moyens possibles par lesquels Dieu peut agir à ce que nous observons autour de nous, car nous pouvons ne rien voir, ou même pire, nous pouvons voir une fosse aux lions ou la famine. Au contraire, recherchons-LE, attendons ses solutions et conseils, même lorsqu’elles semblent ne pas convenir. Recommandons notre sort à l’Éternel, mettons en lui notre confiance, et il agira (Psaumes 37:5). Nous ne savons pas de quelle manière, mais nous savons qu’il le fera. Et cette garantie est suffisante pour nous reposer sur lui, même lorsque tout autour de nous, ne le favorise pas.